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  • : Pascaloup de Savoie
  •  Pascaloup de Savoie
  • : Fenêtre ouverte sur le monde, à plus d'un titre : poésie, sport, maîtrise de l'information...
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15 août 2014 5 15 /08 /août /2014 12:26

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L'hôtel du Crêt rond, que l'on peut gagner

non seulement à vélo mais aussi en "2 chevaux"

(si l'on veut bien faire preuve d'écologie sans

pour autant donner une leçon de vie), n'est

vraiment pas une ombre au tableau.

 

Dans un cadre enchanteresque, la patronne

madame Martin et son chef s'activent pour

que tous les soirs soient des soirs avec.

 

J'ai ainsi eu droit pour mon arrivée lundi

en demi-pension à un dîner savoureux,

composé notamment d'une belle tartiflette

et d'un vacherin, arrosés d'une cuvée

"éboulis de la Savoyarde" en provenance

des caves Quenard à Chignin.

 

J'aurais pu choisir de déguster plutôt la fondue

aux 4 fromages (beaufort, comté, gruyère, emmental

de Savoie), mais le poids des ans a refusé

ce gage de calories maximales.

 

De retour dans ma chambre, à la vue haute de la chapelle

de Poingt Ravier, je me suis abstenu de faire ma prière,

d'autant que le poète et camarade Jean Ristat annonçait

à la face du monde : "Des loups sont aux remparts".

 

 

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10 août 2014 7 10 /08 /août /2014 14:09

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Au-dessus de Saint-Michel-de-Maurienne,

il est une station qui a pour habitude l'hiver

de ne pas nous laisser de glace.

 

Et voici que l'été y réalise à son tour

des sculptures qui feront du foin alentour.

 

Logé à la bonne enseigne du "Crêt Rond",

je prendrai le temps de les contempler

aux Verneys, avant de m'attaquer à un

doux projet : regagner, dix ans après,

à vélo et sans liqueur de génépi,

le col du Galibier...

 

Vendredi, j'ai ajouté le col de Marocaz

dans mes jambes ; mardi ou mercredi,

sur les pentes de Bonnenuit et du Plan

Lachat, ma conduite devrait être en phase.

 

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à l'église de Cruet, on communie déjà avec la route

qui annonce le replat de la moitié de l'ascension...

 

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le dernier hameau avant le sommet affiche un pluriel

que je conteste : il n'y a qu'un seul beau brun, c'est moi !

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27 juillet 2014 7 27 /07 /juillet /2014 16:24

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La maison où il faisait bon être surréaliste, à l'abandon pour les économistes.


La commune de Saint-Brice-sous-Forêt a osé donner le nom

d'un poète de la liberté à un parking à consommer.

 

C'est là encore un signe des temps modernes. L'espèce

humaine devient de plus en plus sonnante et trébuchante.

 

Il n'y a plus de rendez-vous pour les amis

sans montrer quelques sous au pays...

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19 juillet 2014 6 19 /07 /juillet /2014 13:10

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S'il est un petit coin d'Angleterre où le temps s'est figé,

c'est bien Henley-on-Thames, petite bourgade

de l'Oxfordshire, à une heure de Londres.

 

Depuis 175 ans, elle sert de cadre à la Henley Royal Regatta,

et la tradition comme la distinction s'avèrent si fidèles

au rendez-vous que Mike Sweeney, président du comité

d'organisation, "pense même que ce sera toujours pareil

dans cent ou deux cents ans".

 

Pour les lecteurs de l'Equipe magazine, Marc Ventouillac

ajoute que "les meilleurs rameurs du monde viennent

au moins une fois dans leur vie", histoire de "disputer

ces courses d'un autre âge, en bord à bord avec un seul

autre équipage sur la distance typically british de un mile

et 550 yards (2112 mètres)", dans une "atmosphère à la

fois élitiste et bon enfant".

 

Les éléments sortis du rang de la future section sportive

aviron de notre collège seront bien inspirés de s'y rendre

à leur tour, quitte pour eux de laisser leurs téléphones

portables à l'entrée de cette excellence décalée.

 

Les temps modernes que l'on tamise

peuvent connaître une vraie surprise.

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14 juillet 2014 1 14 /07 /juillet /2014 13:46

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Trop de fées pour un trophée ?


Aux "Estivales du château" (qui auront mis

plus d'un nuage pour porter leur nom),

 

le bon Jimmy Cliff a apporté sa pierre

de reggae aux larmes lointaines de la foule

brésilienne (riche d'une équipe misérable :

"et 1, et 2, et 3 zéro" le 12 juillet dans la petite

finale face aux Pays-Bas).

 

Un soir plus tard (puisqu'il semble écrit

que la fin reste l'amie des Allemands),

il aurait pu tout autant reprendre "many rivers

to cross" pour les Argentins, qui laissèrent sans

Di Maria passer leur chance (Higuain, Palacio et

Messi...), au cours d'une finale où la subtilité

sud-américaine aurait mérité de l'emporter sur la

brutalité européenne (Neuer a copié Schumacher).

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