Gewurtz de première classe, magasin du corps de l'As de Trèfle, 1980-1981 : frères d'armes, arrosons la Moscowa et Wagram !
Comme ma langue fourche encore,
j'enfourche ma fidèle bicyclette
sans la mangue de Paulette.
Il me reste dans le bidon
quelque vendange tardive
prise au lion de Belfort.
N'empêche, ô Johnny
toujours vivant comme défi,
je n'aurai pas la gueule de bois.
Il n'y a qu'un seul beau chagrin,
c'est toi me dit Joe ; à oublier !
Comme le chante si bien William,
je veux être un homme heureux.
Source : https://blog.millesima.fr/2017/02/13/fetez-lamour-avec-un-champagne-raffine/
Une bulle de Champagne flotte
dans l'air aseptisé. La coupe aux lèvres
de Maman lui parle d'un temps qui porte
le cœur plus haut que la montagne. En fièvre
d'éléphant, je sabre les ombres... Sous la voûte,
un couple, semble-t-il installé à plus d'un zoom,
boit d'un même étonnement le message qui ne coûte
rien, si ce n'est tout au chagrin d'avoir manqué la boum.
Sans demander de droit d'auteur à la photographe du soir,
je tire un trait sur la joie d'avoir été perçu et m'éclipse.
Il appartiendra au sein Graal devant son miroir
d'accorder le développement de l'amour à l'ellipse.