23 juin 2017
5
23
/06
/juin
/2017
15:38
Par cette canicule qui nous accable,
on peut échapper au grain de sable.
Il suffit de se projeter à l'eau (comme nos
petits veinards de cinquième appelés
lundi en classe de lac au Bourget).
On peut aussi renoncer à courir,
pour se poser à l'ombre des mots.
Et ce n'est pas la littérature d'Amérique
centrale qui nous fera suer.