18 juin 2016
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Sur son cheval devenu gris, le maréchal Pétain
s'est adressé à tous ceux que l'ennemi avait
rendus avachis, derrière la ligne Maginod
comme sur le bord de l'exode.
En amont de la pourriture Laval, il a oublié
que la seule France, la vraie France, la France
éternelle allait se relever, à l'appel du général
de Gaulle et en mémoire de Victor Hugo :
"Ceux qui vivent, ce sont ceux qui luttent."