27 août 2015
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Le soleil d'août faisant encore de la résistance,
je suis monté au col de Marocaz par le versant
qui impose la Boisserette, Monthoux et la Thuile.
Le lac sans la moindre barque m'a rappelé
à l'ordre de la rentrée et les mots d'Henri Calet
ont salué la mémoire d'un éducateur :
"Ne me secouez pas. Je suis plein de larmes."