6 avril 2012
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Au sortir de la grotte de Saint-Christophe,
et au beau milieu de l'assistance familiale
de la salle des fêtes des Echelles, j'ai été
gagné par la fièvre du samedi soir,
en descendant l'Atchafalaya, avec le peuple
Cajun et des Indiens, incarnés par une tribu
de choristes formidables, qui doivent beaucoup
(de roses) à madame Terrier - professeur d'éducation
musicale au collège (de l'Epine).
Un opéra rempli d'ondes positives et de mémoire vibrante,
à même de nous faire oublier, l'espace d'un concert,
notre monde trop souvent brutal ou indifférent.