18 avril 2017
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Dans son éditorial daté du 13 avril Franz-Olivier Giesbert,
qui ne s'embarrasse point d'une info à l'eau tiède, relève
que les petits candidats de droite ou de gauche "nous tirent
tous vers le bas, excepté Jean Lassalle, qui, à l'évidence,
habite au ciel".
Dimanche prochain, le gros du troupeau électoral suivra
une bergère et trois bergers, mais nous nous souviendrons
qu'il n'y avait pas de loup dans une autre sympathie.