C'est un fait qui mérite d'être souligné.
Hier mardi, après le festin habituel
de midi que nous devons au Chef Christian,
pour l'ardoise de l'histoire des arts,
les questions des neuf jurys de professeurs
ont été très souvent mises à l'épreuve
des réponses de leurs élèves ("L'objet a su
susciter le besoin").
Le savoir n'est pas tout, il faut encore être capable
de le faire savoir, sans la moindre moue.
Pour rappel (sous vos applaudissements),
quelques-unes des oeuvres retenues cette année :
"Mon oncle" (Jacques Tati) ; "La complainte du progrès"
(Boris Vian) ; "Les temps modernes (Charlie Chaplin) ;
"Thrène - hommage aux victimes d'Hiroshima"(Penderecki) ;
"Between the lines - le musée juif de Berlin" (Libeskind) ;
"le monument invisible" (Gerz) ; "Si c'est un homme" (Primo
Levi) ; "La guerre" (Otto Dix") ; "Roméo et Juliette" (Shakespeare) ;
"la Six-Chevaux des vacances" (Robert Doisneau).