2 avril 2014
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Le célèbre pianiste d'origine polonaise
Arthur Rubinstein disait des choses
belles comme "je sais où sont les notes
mais je ne trouve plus le piano" , et moins
que jamais atteint de cécité amoureuse
ajoutait "quand je suis seul, alors vraiment
je suis nombreux".
Cela tombe bien, c'est justement sur ce
lien entre la solitude et le sentiment
d'appartenance à un autre être ou à un
groupe d'affinités électives que le printemps
du livre de Grenoble veut nous faire un brin
de conduite. Ne prenons pas la fuite !