5 janvier 2013
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Il est on ne peut plus juste d'être affamé
de poésie russe ou de ne pas perdre l'appétit
pour les baies sauvages de Sibérie,
mais l'on peut sans conteste desservir la table,
quand l'ogre gaulois qui nous met en joie
depuis si longtemps (le talent, n'est-ce pas
en fin de conte le plus important?) lève son verre
de vodka à la santé d'un régime pour lequel
beaucoup continuent d'émettre des réserves.
Et voilà que notre B.B. nationale
se trompe à son tour énormément.
Mais, après l'offense, le grand pardon de Corneille :
"Notre vraie nationalité est l'humanité."