8 octobre 2014
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J'ai profité d'une visite de stage rendue à Jessica
pour retrouver la clinique vétérinaire du Verney
où nous avions dû, il y a quelques années, faire
piquer Chloé et Caïssa, deux présences félines
douées d'une sensibilité alors ignorée de la loi.
Toujours est-il que j'avoue bien volontiers avoir eu,
depuis ces tristes journées, l'esprit de vie plus fort
que le chagrin, ce que je traduirai avec toute la nuance
de la poésie par :
avec le temps, la pluie s'en va de moins en moins,
mais il appartient toujours au coeur de brasser le soleil.
Un rayon que vous me permettrez de dédier à Thomas,
que bien des jeunes sportifs dans l'âme ont pleuré
à juste rêve mardi au collège.