28 mai 2014
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Ce n'est pas la première voix que
des poèmes sont mis en chanson :
je pense à "la mort viendra et elle aura
tes yeux" de Cesare Pavese, ou bien
encore à "que serais-je sans toi ?" de
Louis Aragon (mis en scène par Jean
Ferrat), mais il est aujourd'hui un autre
chant pour faire tourner la porte sur
ses gonds.
Dans les parages du vide où l'on peut
être avide d'un visage, je n'ai pas eu besoin
du téléphone arabe pour savoir que le sublime
recueil "Configuration du dernier rivage", signé
Michel Houellebec, n'était pas un acte isolé...
Un grand merci à Jean-Louis Aubert !