Le Président de la Conférence des Parties (COP 18),
Abdullah bin Hamad Al-Attiyah, prend la parole
à l'ouverture des débats. Photo: UNFCCC.
On savait déjà que le Qatar avail l'ambition
de changer le climat du sport professionnel
(en pure perte, répliqueront les défenseurs
des valeurs fondamentales),
et voilà qu'une nouvelle conférence de l'ONU
sur le changement climatique de notre planète
essaie d'ouvrir une oasis dans le désert.
C'est qu'il y a urgence à faire preuve d'intelligence.
Les niveaux de gaz à effet de serre ont atteint en 2011
un nouveau pic, 70 % des arbres vont manquer d'eau,
et la très sérieuse Banque mondiale prévoit
une "cascade de cataclysmes", dont l'élément déclencheur
sera une hausse de la température moyenne mondiale
de 4° Celsius à dater de 2060.