Dans les manifestants de ce samedi sans lèvres d'espoir contre l'expression démocratique le 9 juin de 40% des votants, combien de personnes placées sous obligation de quitter le territoire français, combien d'Islamistes, combien d'avocats des refus d'obtempérer, de procureurs face à la police, de cracheurs de wokisme sur le drapeau tricolore et la République une et indivisible, de Munichois du 7 octobre et collabos du Hamas, de miliciens du retour de Robespierre place de la discorde ? Voter le 30 juin et le 7 juillet pour le nouveau front populaire, c'est voter pour l'affront patibulaire fait à l'intelligence du Pays, à la réalité que le peuple de France endure depuis 2017, avec la complicité des antennes du déni, lesquelles prospèrent sur les deniers publics.
Sur le pont de Crépol - Pascaloup de Savoie
La cité patibulaire, qui a grandi au fil de l'excuse sur notre sol, est venue faire couler le sang d'un jeune capitaine de rugby. Nos larmes partent en campagne ; il s'agit de transformer la frousse
http://www.pascaloupdesavoie.fr/2023/11/sur-le-pont-de-crepol.html
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"C'est une faute politique, morale, que rien ne justifie" : Manuel Valls compare l'alliance des partis de gauche à celle souhaitée par Éric Ciotti , entre Les Républicains et le Rassemblement ...
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Chaque samedi de 13h à 14h, retrouvez "Face à Michel Onfray" : interrogé par Laurence Ferrari, Michel Onfray, le philosophe, essayiste et polémiste, passe en revue l'actualité de la semaine ...