9 septembre 2018
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La vie de nombre d'Allemands n'est pas
un long fleuve tranquille. Ils cèdent à
la méchanceté, devant l'afflux des migrants
qui ont pourtant traversé une mer de vinaigre.
L'Europe doit s'emparer de cette question aigre ;
la poésie ose de moins en moins sortir des rangs.
Mais je cite Patrick Chemin, le percussionniste
qui sait que l'exil est toujours triste :
" Noël 2013.
Un enfant roi
Qui ne se souvient pas
D'un enfant pauvre.
Les enfants des dieux
Naissent dans des étables
A Lampedusa.
Qui est ton père ? "