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24 octobre 2017
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Impossible d'éteindre ses yeux quand on regarde l'azur
Il y a toujours du vent dans les voiles
du port de Sanary. Sur un banc, l'étoile
de Franz Werfel et Alma Mahler scintille
comme la mer sans sarcasmes. Je pille
le soleil à l'ombre d'un moulin gris. Le grain
qui se lève encore est aussi fort que le café
de ma grand-mère. Je retrouve le gosse d'airain
que j'étais à la bibliothèque. La lecture apeure l'autodafé.
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