14 avril 2017
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Le défi lecture autour de l'autobiographie et du récit d'enfance
a donné l'occasion à Cécile, qui ne compte pas pour rien,
d'ouvrir au CDI un atelier faisant l'apostrophe belle
à "une vie soumise à la nécessité".
Dans l'obligation d'être attentives devant cette émission
que la littérature regrette plus que jamais, les différentes
équipes ont réussi à compléter le script ou à relever une
phrase terrible : "J'écris peut-être parce qu'on n'avait
plus rien à se dire."
Un témoignage poignant qui pourra éveiller
une résonance profonde pour tous ces ados
appelés à leur tour à changer de monde.