10 avril 2017
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Gorgé de soleil comme le Barolo des Langhe,
Cesare ne pavoise plus à l'ombre de Turin.
La campagne est égorgée dans la grande ville
et tout ce qui faisait la fortune de notre ami
ne vaut pas un euro au bord du Pô.
Pour cet effroi ô combien compréhensible et par
la grâce de madame Coutant, nos italianistes
rendront demain la monnaie de leur liesse.
Simili a degli eroi, abbiamo il cuore a strisce...